L’imagerie médicale est utilisée généralement en complément d’autres examens cliniques et biologiques, ou encore pour les tests neuropsychologiques et autres investigations. Elle est effectuée dans le but de détecter une multitude de pathologies. Découvrez alors ci-après tout ce qu’il faut savoir sur la radiologie et l’échographie.
L’imagerie médicale : un élément important à la recherche scientifique
Les études des maladies, la recherche de médicaments et la mise au point de nouveaux traitements constituent les points importants de la médecine moderne. C’est là qu’entre en jeu l’imagerie médicale qui fait appel à de nombreuses technologies et rassemble plusieurs techniques.
L’objectif de l’imagerie complémentaire est donc de diagnostiquer de nombreuses pathologies, mais en plus elle permet de mieux les cerner pour mieux les soigner. Vous pouvez effectuer ce genre d’examen dans un Centre d’imagerie médicale en France, par exemple dans le Finistère si vous y vivez.
La Radiologie : une technologie du 20ème siècle
Tout d’abord, il est essentiel de se rappeler que l’imagerie médicale a fait son apparition lors de la découverte des rayons X par un physicien allemand.
On a ensuite développé cette technique et on a pu dépister la tuberculose avec un radioscope.
En fait, la radiologie utilise les rayons X qui peuvent passer à travers les tissus selon leur densité. Cette technique un peu complexe emploie une source émettrice de rayon X et un détecteur. La source est placée à l’avant de la partie du corps à radiographier, tandis que le détecteur est mis en place à l’arrière. Les photons émis par l’appareil vont alors traverser le corps, ce qui permet de faire la différence entre les muscles et les os.
La radiologie, effectuée dans un cabinet de radiologie à Brest, est souvent faite dans le but de discerner les fractures et déformations osseuses. Actuellement, cet examen a subi quelques évolutions positives. Dans ce sens, les rayonnements émis sont considérablement réduits. Les images obtenues sont aussi perfectionnées grâce à la numérisation, ce qui permet d’avoir des résultats de qualité, de différents contrastes et tailles.
Dans divers cas, la radiologie est couplée à des produits de contraste, ce qui permet d’analyser l’appareil urinaire ou d’étudier les articulations.
L’échographie et l’échodoppler : des techniques non irradiantes
Ces examens efficaces nécessitent l’utilisation d’un appareil à ultrasons. L’échographie permet de créer en temps réel des images de certaines parties du corps. Ainsi, avec cette méthode, les affections atteignant les organes pleins, les téguments, les tendons et certains tissus sont détectées.
Cependant cette technique ne permet pas d’analyser d’autres structures contenant du calcium ou de l’air. C’est le cas par exemple des os, de l’intestin grêle, du colon, etc.
Quant à l’échodoppler, c’est un examen couplé à l’échographie utilisant le doppler. Il consiste à analyser les flux sanguins veineux et artériels.
Plusieurs régions peuvent être analysées avec ces techniques, dont la région pelvienne, la région abdominale, la région abdomino-pelvienne et la région urinaire. Cela dit, avant de faire l’examen, certaines instructions sont à suivre.